Audrée Leduc et sa voix vers une carrière toute en musique

le jeudi 25 janvier 2024

Tombée dans le country quand elle était toute jeune, amatrice de musique, de culture, de chevaux et dotée d’une voix puissante, la Campivallensienne Audrée Leduc a décidé d’embrasser son êve et de partir à la conquête d’une carrière musicale.

« J’écris depuis que je suis très jeune, ça prend beaucoup de travail, mais écrire pour moi c’est inné, je suis quelqu’un de très passionnée et ce sont mes racines. Je chante du Kenny Rogers depuis que je suis haute comme ça. Maintenant, c’est mon plus grand souhait de vivre de ça et je me donne le go. En fin de semaine j’ai déjà un bel évènement alors que je chanterai au Yéti-Fest, mais j’ai plein d’autres projets qui s’en viennent », lance l’autrice-compositrice-interprète qui est aussi enseignante en arts visuels.

Vivre de ses passions

Audrée Leduc, 26 ans, trempe dans la culture et s’inspire des gens qu’elle croise, des paysages inspirants de sa ville natale Salaberry-de-Valleyfield et dans ses précieux souvenirs.

Sa première chanson lancée il y a quelques semaines, Je pense à nous (Valleyfield), porte d’ailleurs sur son amour pour les Campivalensiens et de tout ce qu’ils sont. « C’est une chanson qui parle de mon patrimoine, de ma maison, d’une Ville que j’aime. C’est une chanson que j’ai commencée il y a longtemps, mais que j’ai décidé de modeler pour le 150e », précise celle qui l’a offerte à un public pour l’une des premières fois, le 24 janvier, 150 ans, jour pour jour, après la fondation de Salaberry-de-Valleyfield.

« Ma plus grande ambition est de livrer au public, des chansons qui pourront autant les toucher que les faire célébrer et surtout entrer dans leur cœur. Je tenais à offrir ma première composition aux gens de chez nous, aux Campis. Je souhaite les faire sentir à la maison, peu importe où ils sont », lance Audrée Leduc qui parle d’une communauté tissée serrée.

Une deuxième chanson déjà

La fille des conseillers municipaux France Chenail et Stéphane Leduc offre déjà sa seconde chanson, À qui la faute, dès le 25 janvier à minuit. « Ce sera donc dans les premières secondes du 26 et c’est une chanson qui parle des moments pour penser à soi. Des instants à prendre pour se mettre en priorité dans notre propre vie », conclut celle qui a décidé de se mettre de l’avant.

Après avoir pris part au Festival Western de Saint-Tite ou à d’autres spectacles comme chansonnière, elle laisse maintenant la place à sa passion pour la composition et à une livraison solide.